Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! -5-

Les EXPERTS ESTIMENT
que 20 MILLIONS de PERSONNES sont DÉJÀ MORTES
à cause de la "VACCINATION"-COVID
et que PLUS de 2 MILLIARDS de PERSONNES sont BLESSÉES.

En retirant les couches de tromperie et d'obscurcissement, on découvre une vérité choquante qui peut ne pas être si choquante que cela pour nos lecteurs informés : Les "vaccins" COVID-19 blessent et tuent beaucoup plus de personnes que le gouvernement ne le dit.

Les estimations compilées à partir de données fragmentées suggèrent que jusqu'à 20 millions de personnes dans le monde sont mortes à cause des vaccins, tandis que 2,2 milliards d'autres ont été blessées - et nous ne faisons que commencer.

"Ajoutez les données EUDRA et VAERS sur les décès et les "événements", multipliez-les par un facteur de sous-déclaration de 40, globalisez la part d'un huitième de l'UE et des États-Unis sur les 12,5 milliards de doses mondiales.

VAERS (en prenant uniquement les données américaines) : 13 972 décès et 854 084 effets indésirables jusqu'au 5 août 2022.

Résumé VAERS pour les vaccins COVID-19 jusqu'au 8/5/2022 - Analyse VAERS

EUDRA (ignorez le titre et dirigez-vous vers la première image de la page de renvoi) : 46 999 décès et 4 731 833 blessures

76 789 décès et 6 089 773 blessures signalés dans les bases de données américaines et européennes après l'administration du vaccin COVID-19 - Impact du vaccin

Nombre d'injections aux États-Unis = environ 600m (augmenté à 608 millions ces dernières semaines)

CDC COVID Data Tracker : Vaccinations aux États-Unis

Nombre d'injections dans l'UE = environ 900 millions (augmenté à 915 millions ces dernières semaines)

Nombre d'injections dans le monde = environ 12 milliards (12,5 milliards ces dernières semaines)

Vaccinations contre le coronavirus (COVID-19) - Notre monde en chiffres

Le rapport Lazarus montre que moins d'un accident vaccinal sur 100 est signalé - voir la page 6 sur 7, qui indique que

    "...moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. Les faibles taux de déclaration empêchent ou ralentissent l'identification des médicaments et vaccins "problématiques" qui mettent en danger la santé publique."

Soutien électronique à la santé publique - Système de notification des effets indésirables des vaccins (ESP:VAERS) (ahrq.gov)

L'utilisation d'un facteur de sous-déclaration (FDS) de 1 sur 100 rendrait les injections horriblement mortelles et blessantes (1,4 million de décès et 85 millions de blessures pour les 600 millions de doses administrées).

Une tentative plus récente d'estimation de l'URF est d'environ 40, ici :

Determining the VAERS Under-Reporting Multiplier ( healthimpactnews.com )

Donc, décès dans l'UE et aux États-Unis = 13 972 + 46 999 = 60 971 décès.

et blessures UE+US = 854 084 + 6 089 773 = 6 943 857 (plusieurs par personne, dont la moitié sont "graves").

Multiplier par 40 pour l'URF et ensuite par 8 pour "globaliser".

Le nombre de décès dans le monde s'élève à environ 19,5 millions de FAR et le nombre de blessures dans le monde à environ 2,2 milliards.

Dans les mois et les années à venir, ces chiffres vont encore augmenter, car les protéines de pointe persistantes endommagent progressivement l'organisme des personnes "entièrement vaccinées", les rendant vulnérables non seulement à toutes les maladies qui se présentent (maladies auto-immunes), mais aussi à des caillots mortels (myocardites et péricardites).

Il faut creuser un peu pour trouver les chiffres susmentionnés, car les gouvernements font des heures supplémentaires pour garder toutes les données pertinentes cachées, ou du moins confuses. Le mode de calcul des blessures et des décès après injection varie d'un pays à l'autre et même d'une municipalité à l'autre, ce qui rend difficile l'obtention de chiffres précis.

Les allégations de sécurité et d'efficacité des injections sont également très faussées, notamment la manière dont les "cas" de grippe de Fauci sont déterminés. Tout au long de la prétendue pandémie, les maladies et les décès ont été faussement attribués au "virus" afin que les injections puissent ensuite être présentées comme le "remède".

En 2020, avant le lancement officiel des vaccins, le taux annualisé de "cas" de covidie était d'environ 70 millions - et n'oubliez pas que la définition officielle d'un "cas" est toujours aussi floue aujourd'hui qu'au début de la "pandémie".

Après le lancement de l'opération Warp Speed aux États-Unis, le nombre annualisé de cas de Covid a presque quintuplé pour atteindre 330 millions. Le taux de mortalité annualisé a également augmenté, passant de 1,7 million avant l'opération Warp Speed à 2,9 millions après l'opération Warp Speed.

Ces chiffres sont significatifs car ils montrent que les injections ne "sauvent pas de vies" comme on le prétend toujours. C'est plutôt le contraire qui est vrai, puisque beaucoup plus de personnes tombent malades et meurent à l'ère des injections.

"Plutôt qu'une réduction de 95 % (ou 91 % dans les essais) des cas et des décès, il y a eu une AUGMENTATION de 370 % du taux de cas annualisé", écrit Peter Halligan sur son site Substack. "Les décès annualisés ont AUGMENTÉ de 180 %."

Halligan a examiné les données du système gouvernemental de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) pour arriver aux chiffres de 20 millions de morts et 2,2 milliards de blessés. Comme le VAERS ne saisit qu'un très faible pourcentage des événements indésirables réels liés aux vaccins, Halligan a extrapolé les estimations des chiffres réels en utilisant la multiplication.

La "facture de boucher du champ de bataille", comme il l'appelle, montre que ces chiffres sont bien plus précis que tout ce que le gouvernement ou Big Pharma admettent. Et si ces chiffres se répandaient dans la population, il y aurait certainement beaucoup de gens en colère avec beaucoup de questions à poser aux autorités.

(Source : https://expose-news.com/2022/10/01/20milllion-dead-covid-vaccination/
Traduit avec www.DeepL.com/Translator )

 

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La TÊTE qui CHAUFFE

J’ai fait le vaccin aujourd’hui : j’ai la tête qui chauffe et qui tourne, mal au crâne, mal au bras. Je tiens à dire que je n’ai pas eu le choix car je rentre comme stagiaire en centre pour les handicaps lourds lundi, et au vu de mes stages à venir, pareil, pas le choix... Nous n’avons plus de libre arbitre et j’ai dû aller contre tous mes principes : j’espère que je ne me suis pas tiré une balle dans le pied...

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« Mon CORPS se MET à BRÛLER »

Bonjour à tous et à toutes,

Au bout de deux mois et demi, les symptômes d’hyper-vigilance du cerveau ont baissés (sensation d’angoisse, insomnie, tachycardie, de la nuit et du matin). Mais... d’autres symptômes sont apparus après deux mois et demi : la fatigue, des maux de têtes, des flash lumineux dans les yeux, mon corps se met à brûler, éruption cutanée, énorme fatigue. J’ai l’impression de passer par toutes les phases. Et vous ? D-dimères à 900. Pas de thrombose pulmonaire ; IRM : pas d’AVC.

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Le TROU NOIR

Mon mari étant trop faible pour raconter son histoire, je le fais à sa place. Voici son histoire :

Comme des milliers de Français au moment de l’accessibilité à la vaccination pour la population, j’ai pris rendez-vous via doctolib pour recevoir ma première injection. Ainsi, le 3 mai 2021 à 11h, je me suis rendu et j’ai effectivement reçu ma première dose Pfizer. J’ai ensuite attendu sur place pendant les 15 minutes réglementaires, sans ressentir quoi que ce soit d’alarmant et j’ai donc été congédié sans soucis. À peine monté dans ma voiture, je me suis senti très fatigué, au point de ne pas pouvoir me rendre au travail, comme je l’avais initialement prévu. Je rentre donc chez moi, sans grande inquiétude, car conscient des effets secondaires courants dans tous types de vaccins. J’ai 55 ans, une pratique de sport quasi quotidienne, et j’avais même une alimentation très équilibrée, fortement conseillée par mon médecin traitant pour cause de léger surpoids et grâce à laquelle j’avais perdu une dizaine de kilos.

Je ne me fais donc pas plus de soucis que cela, lorsque mon bras me lance et chauffe pendant 4 jours post-vaccination. Au 5ème jour, en plus d’être toujours très fatigué, je me retrouve dans l’incapacité de conduire avec mon bras et une douleur très intense me prend à la tête, ou plus précisément à l’arrière du crâne. Le lendemain, je prends donc un rendez-vous d’urgence en ligne avec un médecin, à qui je décris mes symptômes et leur intensité. Sans estimer qu’il y ait de quoi s’alarmer, on me prescrit des calmants, que je prends assidûment, sans constater de changement majeur dans mes maux de tête ou ma fatigue. J’avais l’impression de recevoir des décharges électriques intenables à l’arrière du crâne, j’en devenais fou. Comme le médecin en ligne m’avait dit que c’était normal, j’ai pris mon mal en patience. 9 jours se sont écoulés au total. 9 jours de souffrance extrême qui ne semblait inquiéter personne et par conséquent m’empêchait de m’inquiéter, car j’avais confiance en la science et la rationalité de ses praticiens.

Ce 9ème jour donc, le 12 mai 2021, je me lève après une énième très courte nuit. Je ne me sens pas vraiment dans mon état normal, mais je réussis malgré tout à m’habiller. Je dois aller travailler. Je descends de chez moi, monte dans ma voiture, et à partir de ce moment-là, c’était le début de la fin. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, je me sens près de quelque chose sur quoi je n’avais aucun contrôle. Je ne sais par quel miracle je parviens tant bien que mal à contacter ma femme, qui pense dans un premier temps que je lui fais une mauvaise blague. En effet, je n’arrive pas à parler, à comprendre à peine quoi que ce soit. Tout ce que je réussis à dire est : « Mais qu’est-ce qui se passe ? Mais qu’est-ce qui se passe ? » Ma femme comprend alors que ça ne va pas du tout. Elle entend la radio en bruit de fond, elle me demande alors au téléphone si je suis dans la voiture, ce à quoi je réussis à répondre que oui. Elle me demande ensuite si je suis en bas de chez nous et je réussis encore une fois à lui faire savoir que oui. Tout de suite elle raccroche, appelle le 15 et leur donne ma localisation. Ils me trouvent donc dans ma voiture, à peine conscient, et à partir de cet instant, c’est le trou noir. Je ne sais ce qui s’est passé par la suite qu’à travers ce que m’ont raconté ma femme et mes enfants, ainsi que les médecins.

Je suis alors transféré à l’hôpital de Poissy où sont réalisés scanner et IRM. Le résultat est sans appel : thrombose veineuse et hémorragie du côté gauche de mon cerveau, qui induit une hémiplégie de mes membres (bras et jambes droits). Dès que les médecins ont eu connaissance de la gravité de mon état, ils ont organisé mon transfert d’urgence à l’unité neurologique de l’hôpital Sainte-Anne à Paris le soir même. Arrivé là-bas, l’équipe de nuit prépare ma famille à la forte possibilité que je ne passe pas la nuit. Le lendemain, je fais une crise d’épilepsie. J’y reste hospitalisé jusqu’au 26 mai. Entre mon état et les médicaments que l’on me donnait par perfusion, je n’ai repris pleinement conscience qu’au bout d’une semaine, sans pouvoir prononcer ne serait-ce qu’un mot et paralysé du bras et de la jambe droite.

Une fois mon état complètement stable, j’ai été de nouveau transféré à l’hôpital de Poissy où je suis resté du 26 mai au 7 juin. Pendant cette période, ma rééducation a commencé, motrice et locutrice. J’ai miraculeusement très vite retrouvé la motricité de mes membres droits, mais j’étais toujours quasi incapable de parler, comprendre, lire et écrire. J’arrivais à me faire comprendre, mais l’impact psychologique, surtout en période covid où les visites étaient très limitées, était énorme et ne favorisait pas une guérison « rapide ». Moi qui avais toujours été un homme fier et indépendant, j’étais désormais presque infirme et traité comme un enfant. J’ai perdu 20 kilos dû à une alimentation quasi inexistante durant cette période. J’attendais donc à Poissy que l’on me trouve une place dans un véritable centre de rééducation pour y être transféré, une fois encore. Je vous laisse imaginer l’état dans lequel j’ai laissé ma femme et mes enfants pendant tout ce temps.

Après de nombreuses étapes administratives dont je vous épargnerai les détails, j’ai finalement eu la chance de me voir attribuer une place dans le service de médecine physique et réadaptation de l’hôpital du Vésinet, très bien réputé. J’y ai passé 11 jours avant de ne plus supporter cet endroit. Pas parce qu’il n’est pas bien, bien au contraire, mais parce que j’ai été hospitalisé près d’un mois et demi au total et que je n’en pouvais plus psychologiquement. J’avais besoin de rentrer chez moi, auprès de ma famille et de retrouver un semblant de vie normale.

Avant cela, j’ai donc passé 11 jours avec des orthophonistes, des psychologues cliniciens et des rééducateurs physiques. J’ai bien progressé mais ce n’était jamais suffisant. Je devais tout réapprendre. Moi qui était bilingue français/arabe, j’étais désormais incapable de prononcer le nom de mes propres enfants, l’alphabet, ou encore les jours de la semaine. J’appelle une tasse un téléphone, et ça encore quand je parviens à formuler un véritable mot. Ils appellent cela une aphasie. Globalement, la connexion entre mon cerveau et ma bouche a été rompue d’une certaine manière. Les zones du langage et de la compréhension de mon cerveau ont été endommagées, me rendant incapable de nommer, comprendre, lire ou écrire quoi que ce soit.

Le 18 juin 2021, finalement, j’ai réussi à négocier ma sortie avec l’équipe très bienveillante du Vésinet. Je suis rentré chez moi et depuis, je me rends tout les matins là-bas pour ma rééducation. J’ai fait énormément de progrès depuis, beaucoup au niveau du langage, mais c’est loin d’être redevenu comme avant. Les médecins parlent de plus d’un an, pour espérer se rapprocher d’un retour à la normale. Patienter est difficile, il y a des jours avec et toujours beaucoup de jours sans.

Ma vie à moi et celle de ma famille a été chamboulée. Je ne suis plus en mesure de travailler, ce qui rend la vie très compliquée car il est dur de subvenir à nos besoins. Nous avons 2 enfants en bas âge dont ma femme s’occupe à plein-temps et j’ai deux autres filles d’un précédent mariage de 16 et 20 ans dont je ne peux plus m’occuper. Le ciel nous est tombé sur la tête et le poids et les conséquences longue durée de cet événement tragique restent difficilement vivables. Je devais recevoir ma deuxième dose le 14 juin, mais les médecins me l’ont formellement interdite.

Elshidid Elsayed

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EFFETS SECONDAIRES du TEST PCR

Bonjour,

Qui aurait eu des effets secondaires après test PCR ? Depuis, j’ai un brouillard mental et des difficultés à me concentrer.

-4014-
L'HORREUR !

Première injection du Pfizer le 5 mai. Effets secondaires : articulations et muscles bloqués, douloureux. 2ème injection le 14 juin : l’horreur ! Seule la cortisone me donne du répit !

-4015-
« ÉCŒURÉE par ce SYSTÈME ! »

Bonjour à tous,

Voici mon témoignage perso :

Vaccinée contre mon gré (infirmière libérale) début septembre, un samedi à 13h30. Fourmillements dans le bout des doigts 5 minutes après l’injection. Je ne signale pas, parce que pas envie d’être encore retenue dans cet endroit. Je dis à mon conjoint que si vraiment ça passe pas, on reviendra. Bref cela passe au bout d’environ 45min. Le soir, mal de tête ; idem le lendemain matin, genre début de syndrome grippal. Je bosse ce jour-là (donc dimanche) jusqu’à 10h30. Je rentre, je me repose un peu et dort finalement jusqu’à 12h30. Je mange, je fais un petit tour avec le chien en me sentant de plus en plus faible. Je rentre et dort jusqu’à 19h30. Je mange et dors toute la nuit. Le lendemain (lundi) je me lève le matin (ne sais plus quelle heure) petit dej et dodo. Idem à midi : me réveille pour manger et redors jusqu’au soir. Idem, je me lève juste pour manger et me couche. Le lendemain (mardi), je commence à reprendre mes esprits et mets 1h-1h30 à refaire petit à petit le fil de ma journée d’hier, car je ne me souvenais plus de rien. J’ai donc juste le souvenir de ce que je viens de raconter et que ma fille est venue 2-3 fois me demander si ça va.

2ème dose, 3 semaines plus tard, en mode flipette d’avoir les mêmes effets ou pire. Évidement je raconte les effets de la 1ère. Mais bon, je l’aurais raconté en chinois ç’aurait été pareil. J’ai juste eu mal au bras pendant 1-2 jours, ouf ! Ce matin rdv chez mon doc. Je lui raconte tout ça, il me dit : « On peut faire une déclaration pharmacovigilance mais vous allez être traitée comme un vrai cobaye, découper en rondelle et interrogatoire Gestapo pour être sûr que c’est en lien avec le vac et c’est normalement au centre de vac de le faire. » Il rajoute que tous ceux à qui il a proposé de faire une déclaration, ont refusé à cause des contraintes. Alors évidement pas de déclaration, ben pas d’effets recensés, donc cette m*** est sans danger. Bref, dès que mon lumbago sera passé, j’irai au Centre leur demander de faire une déclaration et m’expliquer avec eux, pourquoi cela ne m’a pas été proposé quand je suis venue la 2ème fois et que je l’ai signalé. Écœurée par ce système ! Un peu long mon récit.. désolée.

Bon courage à tous !

-4016-
SOUCIS d'ESTOMAC

Bonjour,

Y a-t-il des personnes ayant des soucis d’estomac (béance cardiale) ? Après vaccination ? Merci.

-4017-
DEUX CANCERS OPÉRÉS en URGENCE

Bonjour,

J’aimerais votre avis. Voilà, j’ai deux membres de ma famille qui se sont faites vacciner. Environ un mois après leur 2ème injection, on leur a découvert à chacune un cancer. À une, un cancer du sein qu’il a fallu opérer en urgence. Et à l’autre, une lésion cancéreuse de 5cm au cerveau, qui a dû également être opéré en urgence.

Ma question : pensez-vous que ça pourrait être en lien avec le fait qu’elles aient été vaccinées ?

-4018-
« MERCI à ce PSEUDO-VACCIN
qui a PRIS la VIE de ma MÈRE !!! »

J’ai ma mère, 67 ans, qui a fait le Janssen fin mai. Un mois après : thrombose, embolie pulmonaire, 2 arrêts cardiaques, coma, intubée ! Elle est restée un mois à l’hôpital en réa sans avoir repris connaissance, avant de décéder le 27 juillet, car elle était en état végétatif.

Merci à ce pseudo-vaccin qui a pris la vie de ma mère !!!

Ô très miséricordieux Jésus,
vous qui brûlez d’un si ardent amour pour les âmes,
je vous en conjure,
par l’agonie de votre très Saint Cœur,
et par les douleurs de votre Mère Immaculée,
purifiez dans votre Sang
tous les pécheurs de la terre qui sont maintenant à l’agonie
et qui aujourd’hui-même doivent mourir.
Amen.

Cœur agonisant de Jésus,
ayez pitié des mourants.
Cœur compatissant de Marie,
priez pour les affligés.