Les mirages de la demi-guerre en Syrie

Jean-Pierre Denis
Publié le 05/09/2013 à 00h00, mis à jour le 05/09/2013 à 13h15 • Lecture 2 min.
Le 31 août 2013, Barack Obama a demandé au Congrès américain de voter une éventuelle intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad © Jim Watson / AFP

Le 31 août 2013, Barack Obama a demandé au Congrès américain de voter une éventuelle intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad © Jim Watson / AFP • © JIM WATSON / AFP

Une intervention punitive contre le régime d’el-Assad permettrait-elle d’arrêter le massacre ou, à rebours de ses louables intentions, alimenterait-elle l’incendie ? Pour le pape François, aucun doute ne semble permis. La guerre ne peut « jamais » apporter la solution. Si l’affaire syrienne n’avait ce caractère non seulement sérieux mais dramatique et même horrible – déjà 100 000 morts et 2 millions de réfugiés –, on pourrait traiter son intervention à la légère. Le pape, comme Miss France, se déclare-t-il pour la paix et contre la guerre ? Fort bien ! Voilà une opinion tout à fait sympathique, mais de faible valeur sur le plan géopolitique. Or, il faut souhaiter que la parole du Saint-Siège
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Article paru dans :

Punir Assad, le dilemme de l'Occident

Edition du 05 septembre 2013 (N°3549)

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