C'est le décret du Saint Office, je ne me permet pas de le juger. Il n'y a que vous qui ne semblez pas comprendre que la secte et son fondateur ont été condamnés, par le fait-même vous êtes inclus dans la condamnation, puisque vous y avez adhérée, puis avez formé votre propre secte. Souvenez-vous ce que dit Saint Bernard : « celui qui se fie à lui-même, se fie à un sot », je l'écrit par rapport à vos pseudo- visions ou inspirations, selon lesquelles vous vous êtes constitué le « Pape ».

Monsieur Léon XIV, je vous conseille en charité d'aller lire le Code du droit canonique de 1917. À moins que monsieur Collin l'a abrogé??? Sachez qu'il se peut que des clercs soient réduits à l'état laïc, comme le prouve les Canons ci-dessous. Une autre preuve que vous n'êtes pas le Pape, puisque vous avez écrit plus haut que cette réduction n'existe pas, et que c'est hérétique de le penser :

« C. 123 CIC/1917 : Le clerc ne peut renoncer à ses privilèges canoniques, mais il les perd, s'il est réduit à l'état laïque ou s'il encourt la privation perpétuelle du droit de porter l'habit ecclésiastique ; il les récupère, si cette peine lui est remise ou si lui-même est réadmis dans le clergé. »

« C. 669 CIC/1917 §2 : Par son renvoi le clerc des ordres mineurs est réduit à l'état laïque. »

Léon XIV, monsieur, vous vous trompez sur ce point. Lisez le Droit canonique de 1917 : les femmes ne sont aucunement des clercs.
« C. 108 CIC/1917
Section I : Des clercs en général (108-214)
§1 Ceux qui sont voués aux fonctions sacrées au moins par la première tonsure sont appelés clercs.
§2 Tous les clercs ne sont pas du même grade, mais il existe entre eux une hiérarchie sacrée, qui subordonne les uns aux autres.
§3 D'institution divine, la sacrée hiérarchie en tant que fondée sur le pouvoir d'ordre, se compose des évêques, des prêtres et des ministres ; en tant que fondée sur le pouvoir de juridiction, elle comprend le Pontificat Suprême et l'Épiscopat subordonné ; d'institution ecclésiastique, d'autres degrés se sont ajoutés. »
Les femmes n'ont pas de fonction sacrée dans l'Église (elles ne font pas partie de la hiérarchie enseignante), elles ne sont donc pas des clercs.
J'ai supprimé votre commentaire sur l'hérésie de Pie XII, ceci est une calomnie. Il a agit sous l'inspiration de l'Esprit-Saint en condamnant monsieur Collin.

@Hélène33 , désolé de vous apprendre qu'un simple moine ne fait pas nécessairement partie de la hiérarchie enseignante et un simple moine n'est pas nécessairement un prêtre pour autant, mais ils ne sont pas moins considérés comme des clercs. Vous avez une mauvaise interprétation du droit canon. Le clerc est défini par opposition aux laïques et désolé de vous apprendre qu'une religieuse n'est pas une laïque, car elles font tout autant partie d'un ordre religieux que les moines et c'est leur place au sein d'un ordre religieux qui les distingue des laïques, comme tous les clercs.

Can. 948

Dans Église, de par l’institution du Christ, l’Ordre met les clercs à part des laïques pour le gouvernement des fidèles et le ministère du culte divin.

Les religieuses ne sont pas des clercs! Bien que consacrées à Dieu, elles ne sont pas des hommes, donc en aucun cas elles peuvent être des clercs. Vous l'avez écrit : « pour le gouvernement des fidèles et le ministère du culte divin. » Les femmes ne rentrent pas dans cette catégorie, il n'y a que les hommes qui gouvernent les fidèles et qui sont ministres du culte divin!

La discussion initiale était que oui, il est possible qu'un clerc (un homme seulement, pas une femme) soit réduit à l'état laïc.

La peine de la dégradation suppose la réduction du clerc à l'état laïc (Code 2305 paragraphe 1). Dans le clergé on inclut aussi le prêtre, donc la dégradation s'applique à eux aussi, c'est pourquoi vous l'avez bien lu dans les Actes du Saint-Siège que le prêtre Collins a été réduit à l'état laïque conformément au droit Canon ci-dessus mentionné. Votre prétention que le Saint-Siège aurait erré est un blasphème et une hérésie, car le Saint-Siège a l'assistance divine aussi dans la discipline (voir Pastor aeternus).

« ACTA SS. CONGREGATIONUM SUPREMA SACRA CONGREGATIO- S. OFFICII NOTIFICATIO
Suprema Sacra Congregatio S. Officii, decreto feriae IV, diei 17 Ianuarii 1951, redegit ad statum laicalem Sacerdotem MICHAELEM COLLIN, a Congregatione Sacerdotum a S. Corde Iesu iam dimissum et per plures dioeceses pervagantem, qui saepe ac variis modis praescripta sacrorum
canonum violaverat.
Associationem autem cui titulus « Institut des Apôtres de l'Amour Infini - Opera degli Apostoli dell'Amore Infinito » quam praedictus Sacerdos, absque approbatione competentis Auctoritatis Ecclesiasticae, condere praesumpserat, eadem Suprema S. Congregatio dissolvit atque vetuit
rursus constitui.
Datum Romae, ex Aedibus S. Officii, die 30 Maii 1951.
Marinus Marani, Notarius. »
- Acta Apostolicae Sedis, année 1951, ANNUS XXXXIII - SERIES II - VOL. XVIII, p. 477

Je n'ai rien renié, c'est vous qui devriez faire des études en droit Canon, qui apparemment, n'avez pas fait.
Vous niez la Sainte Écriture : « Allez donc, et instruisez tous les peuples, les baptisant au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. » St Matthieu, XXVIII, 19.
La Très Sainte Vierge immaculée n'est pas une Personne divine, elle est une pure créature. La mettre au même rang que la Très Sainte Trinité est une hérésie. Elle a bien été couronnée par Dieu, au-dessus des Saints Anges et de tous les Saints, mais elle reste une créature humaine.
« La Sainte Église, avec le Saint-Esprit, bénit la Sainte Vierge la première, et Jésus-Christ le second : Benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui, Jesus. Non pas parce que la Sainte Vierge soit plus que Jésus Christ ou égale à lui : ce serait une hérésie intolérable ; mais c'est que pour bénir plus parfaitement Jésus-Christ, il faut auparavant bénir Marie. Disons donc avec tous les vrais dévots de la Sainte Vierge, contre ses faux dévots scrupuleux : O Marie, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et béni est le fruit de votre ventre, Jésus. » Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge

Ce pseudo catholique nommé Léon XIV, pape autoproclamé, nage en plein délire, je le cite : Vous changez de sujet après avoir renié le concile de Trente et oui, la Très Sainte Vierge est divine, cela fait parti de son couronnement au ciel. (sic)
Il nie la Sainte Trinité pour adorer son « saint quatuor ». Vous êtes plus courageuse que moi, @Hélène33 qui acceptez de débattre avec un illuminé ni catholique ni même chrétien.

Grosminet, le premier refus de se conformer à la décision du Saint-Siège (réduction à l'état laïc du prêtre fondateur, ainsi que la dissolution de la secte), a entraîné toutes les autres déviations ou naufrages dans la foi catholique. C'est lui, le pauvre, qui nie la Révélation : « Allez donc, et instruisez tous les peuples, les baptisant au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. » St Matthieu, XXVIII, 19.
Prions pour lui, car comme on le voit, les arguments accompagnés de références ne servent à rien (du moins jusqu'à présent). Ce serait un grand acte d'humilité qu'il admette qu'il s'est trompé. Pour les scandales qu'il donne, il devrait faire publiquement réparation et pénitence : il en va de son salut éternel.